EspañolThe following press release was distributed to media today.
WASHINGTON DC, December 17, 2024 – “Our firm is privileged to be retained with respect to a matter of grave import to the Iraqi people. The ongoing attempt by Iran-related judicial and political figures to expropriate Ms. Saleem’s assets represents a descent into judicial chaos and amorality,” states Robert Amsterdam, founding partner of the firm.
In 2014, for 43 days, Ms. Saleem was brutally kidnapped in Basra and tortured by Iran-related militias connected to the then-government of Iraq, and she has recently brought suit in the United States.
For over 10 years, the work of the kidnappers to attack my heroic client has been continued by members of the judiciary and political elite of Iraq to accomplish the process of expropriation of assets and thwart the business activities of Ms. Saleem.
These acts of corruption have even included instrumentalising senior religious officials of both the Catholic and Orthodox churches, in brazen attempts to smear my client in a transparent pay-to-pray scheme.
Tomorrow in Baghdad another step will be taken to bury justice. In a courtroom to be presided over by Judge Satar Warwar, who is operating under instructions of the country’s Chief Justice, Faiq Zidan, a decision will be rendered to clear three individuals who have already served a significant amount of time in jail, in an attempt to launder reputations and change the course of history relating to the theft from Ms. Saleem of over 100 million US dollars.
Ms. Saleem, working with our international legal team including our esteemed colleague William Bourdon in Paris, will fight to protect her interests as well as attempt to restore the belief of the Iraqi people in their own system of justice.
Amsterdam & Partners LLP mandaté par l’éminent investisseur irakien Sara Saleem
Washington DC
17 décembre 2024
« Notre cabinet a le privilège d’être retenu pour une affaire d’une importance capitale pour le peuple irakien. La tentative incessante de personnalités judiciaires et politiques liées à l’Iran d’exproprier les biens de Mme Saleem représente une descente dans le chaos judiciaire et l’amoralité », déclare Robert Amsterdam, associé fondateur du cabinet.
En 2014, durant 43 jours, Mme Saleem a été brutalement kidnappée à Basra et torturée par des milices liées à l’Iran et liées au gouvernement irakien de l’époque et ella a récemment porté plainte aux États-Unis.
Depuis plus de 10 ans, le travail des ravisseurs pour attaquer mon héroïque cliente a été poursuivi par des membres de l’élite judiciaire et politique irakienne pour achever le processus d’expropriation des biens et contrecarrer les activités commerciales de Mme Saleem.
Ces actes de corruption ont même consisté à instrumentaliser et corrompre de hauts responsables religieux des églises catholique et orthodoxe, dans des tentatives éhontées de salir ma cliente.
Demain à Bagdad, une autre étape sera franchie pour enterrer la justice. Dans une salle d’audience présidée par le juge Satar Warwar, qui tranchera sous les instructions du juge en chef du pays, Faïq Zidan, une décision sera rendue pour disculper trois individus qui ont déjà passé une longue période en prison dans une tentative de blanchir leurs réputations et de changer le cours de l’histoire en ce qui concerne le vol de plus de 100 millions de dollars américains à Mme Saleem.
Mme Saleem, en collaboration avec notre équipe juridique internationale, à laquelle s’est joint notre estimé collègue William Bourdon à Paris, se battra pour protéger ses intérêts et tentera de restaurer la confiance du peuple irakien dans son propre système de justice.
